Numérologie
Histoire
La
numérologie prend sa source de l'enseignement interne du judaïsme, la Kabbale,
qui signifie recevoir. Il s'agit de l'enseignement transmis oralement du maître
à l'initié et cet héritage date d'avant Moïse. En Hébreux, le mot "connaître"
est synonyme du mot "aimer", " co " signifiant " avec
" et " naître " " naître ". Donc, en apprenant à se
connaître, l'amour de soi-même grandit et amène à renaître à soi-même. Quand on
cherche à se comprendre dans sa partie intérieure, dans son essence, on se
découvre de plus en plus et on parvient à fusionner avec soi, à communier avec
son être profond, plus on s'aime, et plus on peut aimer.
Pour
Pythagore, qui fit connaître la numérologie au monde occidental, tout est régi
selon le nombre : rien n'y échappe. Les nombres n'expriment pas seulement les
lois du monde physique et moral, les rapports entre les choses, ils sont le
principe même de ces lois, l'essence immanente des choses. Ils sont une vertu
formative et spécifique.
On distingue deux grandes
catégories de numérologies :
●
la plus commune, traditionnelle occidentale latine : la
numérologie à neuf chiffres ou arithmancie.
●
la numérologie à 22 nombres découle de l'attribution
numérale des séphiroth (chemin de la Kabbale).
Techniques de la numérologie occidentale
Le
numérologue utilise les nombres de la date de naissance ainsi que les valeurs
numériques des lettres qui composent les noms et les prénoms. En additionnant
les éléments d'une date de naissance, on obtient des facettes différentes de
l'être humain, ses comportements dans l'intimité ou à l'extérieur, sa
personnalité sociale, sa manière à lui d'atteindre un équilibre, sa façon bien
personnelle de réfléchir, son chemin de vie, son nombre intime, son nombre
héréditaire, son nombre d'expression, son nombre unique, et bien d'autres
façons d'agir ou de percevoir qui lui sont propres. Il existe aussi des
maîtres-nombres qui ont une signification particulière.