Adder
cf. Nadur.
Adelring « noble épée »
Autre nom de Balmung dans Sivard et Brynild.
Ættartangi
Epée offerte à Grettir le Fort par sa mère Asdis. Elle est déjà connue
dans la saga de Vatnsdœla sous le nom de Jokulsnautr, le « cadeau de Jokul ».
Grettir s’empara aussi d'une épée courte, trouvée dans un tertre funéraire en Norvège après y avoir vaincu Kar le Vieux, le mort qui y
était inhumé.
Ambroisie
Herbe qui donne l'immortalité
aux Olympiens.
Amenonuhoko
Lance utilisée par les divinités
shinto Izanagi et Izanami pour créer le monde.
Ame-no-Ohabari
Epée utilisée par Izanagi pour décapiter son fils Kagutsuchi, le dieu du feu.
Andvaranaut
Anneau magique ayant appartenu à
Andvari, pouvant engendrer de l'or et assurant ainsi la fortune de son
propriétaire.
Angrvadall ou Angurva « le
ruisseau de l'angoisse »
Epée magique de Frithjof dans la
mythologie nordique. Elle porte des runes sur sa lame qui
flambent en temps de guerre mais qui rougeoient faiblement en temps de paix.
L’épée, forgée en Orient et trempée dans le feu des Dvergues, a appartenu tout
d’abord à Björn à la dent bleue, qui l’a perdue avec sa vie dans un combat
contre Vifell ; elle s’est alors transmise de père en fils : Viking, Thorstein
(saga Víkingssonar) puis enfin
Frithjof.
Anneau des Nibelungen
Ancienne légende liée à un
anneau maudit forgé par les Nibelungen, un peuple de nains légendaires. Deux
versions sont connues : l'une scandinave, à travers l'Edda poétique et la
Völsunga saga, l'autre allemande racontée dans La Chanson des Nibelungen.
Answerer « celle qui répond »
Autre nom de Fragarach.
Arc d'Apollon
Pouvait entraîner la mort mais
aussi la famine et la peste. Sa sœur Artémis avait également un arc magique.
Ensemble, les dieux jumeaux, pour punir Niobé qui avait défié leur mère Léto,
massacrèrent de leurs flèches ses nombreux enfants, les Niobides.
Arc de Cupidon
Ses flèches pouvaient provoquer
l'amour ou la haine de la première personne rencontrée après l’avoir touchée. Elles
étaient de plomb (désamour) ou d'or (amour). On ignore qui fit l'arc lui-même,
mais c'est Vulcain qui fabriquait les flèches.
Arc de Pâris
Donna la mort à Achille, après
que la flèche dirigée par Apollon alla jusqu'à son talon, seul endroit où il
était vulnérable.
Arc et flèches de Philoctète
Philoctète avait reçu l'arc
d'Hercule après la mort de ce dernier et les devins avaient indiqué que Troie
ne pouvait être prise ces arc et flèches. Or Philoctète gravement blessé avait
été abandonné sur l'île de Ténédos (ou Lemnos selon les versions). Ulysse et
Néoptolème (fils d'Achille) vinrent le chercher et le firent soigner par
Machaon et Podalirios, médecins des grecs. Remis, il tua Pâris avec ses
flèches.
Arc d'Ulysse
Arc que seul Ulysse pouvait
manier. Pénélope annonça à ses prétendants qui la pressent de choisir un nouvel
époux qu'elle consentira à épouser celui qui sera capable de bander l'arc de
son époux et d'envoyer une flèche traverser douze haches alignées, comme le
faisait Ulysse (cf. Odyssée - Chant XIX). Seul Ulysse déguisé en mendiant
parvint à cet exploit et par la suite massacra de ses flèches tous les
Prétendants de Pénélope qui pillaient sa maison jour après jour.
Arc et flèches d'Hercule ou d'Héraclès
Trempées dans le sang de l'Hydre
de Lerne, les flèches d'Hercule étaient mortelles. Les Centaures dont
l'innocent Chiron en firent les frais mais surtout Nessos qui tenta de violer
Déjanire au gué de l'Evenos.
Argo
Bateau à bord duquel Jason et
les Argonautes naviguent depuis Iolcos pour trouver la Toison d'or. Il avait la
particularité de parler et de voir l'avenir, parce qu'il fut fabriqué avec du
bois chêne venant de l'oracle de Dodone.
Armure de Beowulf
Faite par Weyland.
Armure d'Énée
Faite par Héphaïstos à la
demande de son épouse Aphrodite, mère d'Énée.
Armure divine d'Achille
Créée par Héphaïstos et réputée
inviolable.
Asi
Première épée à avoir été forgée
selon le Mahabharata,
épopée sanskrite de la mythologie hindoue.
Balmung
Epée de Sigmund
puis de son fils Siegfried, de Hagen et d’Ehriemhild dans la Chanson des Nibelungen. Forgée
par Völund, elle
est brisée en deux par Sigmund dans son combat contre Odin, puis Siegfried la
répare.
Bateaux des Achéens
Bateaux de la Guerre de Troie,
qui, quand ils se dirigèrent vers Troie, étaient si nombreux qu'ils pouvaient
cacher la mer avec leurs voiles.
Beagalltach « petite furie »
Epée donnée à Fianna Diarmuid Ua
Duibhne par son père adoptif le dieu solaire Oengus (en même temps que
Moralltach). Diarmuid la brise en combattant le sanglier géant qui lui sera
fatal.
Blutgang ou Blodgang
Epée de Hieme dans la saga de Thidrek. Elle se brise
sur Hildegrimur, le casque de Thidrek.
Boîte ou Jarre de Pandore
Dans la mythologie grecque,
jarre contenant tous les maux de l'humanité. Initialement, elle s’appelait la
jarre d’Épiméthée, frère de Prométhée. Epiméthée, qui veut dire « réfléchit
après coup », était lent d’esprit. Lorsque son frère Prométhée remit aux hommes
le feu, les dieux décidèrent de se venger. Ni parvenant pas au combat, les
Dieux décidèrent de biaiser et offrirent à Epiméthée une femme Pandore
(« celle qui a tous les dons »), la première femme humaine, et une
jarre qui contenait tous les maux de la terre, sans l'en avertir toutefois.
Prométhée supplia son frère de ne rien accepter des dieux, prévoyant là une
ruse ; mais celui-ci ne l’écouta pas. Il prit la femme qu’il épousa et la
jarre. Et comme il était lent d’esprit, il ne vit pas le piège et ouvrit cette
dernière ; tous les maux alors se répandirent sur la terre pour châtier les
hommes.
Par la suite, la civilisation
grecque, devenue fortement misogyne, ne pouvant accepter que ce fut un homme
responsable de cette « bêtise », transforma quelque peu l’histoire : la jarre
fut remise à Pandore et non à Epiméthée, puis Héra, épouse de Zeus, dota
Pandore du don de la curiosité (alors qu’elle les avait déjà tous !?) et donc cette
dernière l’ouvrit (oubliant ainsi le don d’intelligence !?).
Boucliers Anciles ou boucliers sacrés
Au nombre de 12, ils furent forgés
par le mythique souverain de Rome Numa Pompilius et dédiés au dieu Mars.
Bouclier orné d'Achille
Forgé par le dieu Héphaïstos. On
le considère comme le plus beau bouclier jamais vu.
Caducée
Attribut divin d'Hermès ou
d’Asclépios constitué d'un bâton et de deux serpents enroulés. Il a des
pouvoirs guérisseurs ; le serpent étant parfois associé à la médecine.
Caladbolg ou Calacholg « dur tranchant »
Epée magique de Fergus Mac Roeg
dans la mythologie celtique irlandaise, ou du moins connu Fergus Mac Léti (sous
le nom de Calacholg, « dure lame »). C'est une épée flamboyante qui inflige des
blessures mortelles à ses ennemis, ce pourquoi on l'appelle aussi Claíomh
Solais, ce qui signifie « épée de lumière » en irlandais. À partir du Xe siècle
le nom prend (au pluriel et par antonomase) le sens commun d’« épées glorieuses
». Elle fut amenée par les Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana et constitue
l'un de leurs trésors avec Fragarach. On l'appelle aussi l'épée de Nuada. La
présence de Caladbolg dans plusieurs mythologies explique pourquoi elle porte
autant de noms différents. Elle s'appelle aussi Caledfoulch ou Kaledfoulc'h,
qui signifie « dur éclair », et prendra le nom de Kaletfwlch, en gallois et
deviendra Excalibur dans la légende arthurienne. Le sens du nom est « foudre
dure ». C'était une épée à deux mains, dont la pointe traçait des arcs-en-ciel
quand on la maniait, et qui avait le pouvoir de massacrer une armée entière.
Lors de l’ultime bataille de la Táin Bó Cúailnge (« Razzia des vaches de Cooley
»), Fergus attaque le roi d’Ulster Conchobar Mac Nessa et lui assène un coup si
puissant qu’il fait « crier » son bouclier. Alors qu’il s’apprête à massacrer
un grand nombre d’Ulates, il est ceinturé par Cormac Cond Longas qui le
persuade de détourner sa fureur guerrière vers les trois collines qui se trouvent
dans le marais. Depuis, les collines écimées portent le nom de « Chauves de
Mide ». Le nom est à rapprocher d’une autre arme magique, la Gae bolga de
Cúchulainn, le javelot-foudre. Il serait à l’origine de Caledfwlch, nom gallois
d’Excalibur, l’épée du roi Arthur.
Ceard-nan Gallan «
forgeron des branches »
Epée du héros irlandais Oisín.
Ceinture d'Aphrodite
Elle a été fabriquée par
Héphaïstos. Cette ceinture rend séduisante n'importe quelle femme qui la met.
Aphrodite s'en sert pour séduire Héphaïstos quand elle lui est infidèle et il lui
pardonne toujours.
Ceinture d'Hippolyte
Ceinture appartenant à
Hippolyte, reine des Amazones et fille d'Arès ou Mars. Obtenir cette ceinture
est le neuvième des douze travaux d'Héraclès ou Hercule.
Chandrahas
Dans la mythologie hindoue
l’épée indestructible que Shiva donne à Ravana, en l’avertissant
que s’il s’en sert pour des causes injustes ses jours seront comptés et l’arme
reviendrait à Shiva.
Chandrahrasa
Epée légendaire de Manjusri. Selon le Swayambhu
Purana elle servit à fonder la vallée de Katmandou.
Elle est représentée sur le drapeau de la ville.
Char d'Apollon
Il marquait la course de l'astre
solaire, mais avant cela c’était le char
d'Hélios, dieu du Soleil, qui accepta à tort, de laisser Phaéton son fils le
conduire une journée.
Char d'Aurore
Marquait la course qui précédait
celle du Soleil.
Chaudron de Diwrnach ou de Dagda
Chaudron magique dans Culhwch ac
Olwen. Il appartient au géant Diwrnach Wyddel, intendant du roi Odgar
d'Irlande. Ce chaudron remplit, dans la mythologie celtique, le même rôle que
la corne d'abondance : il produit indéfiniment de la nourriture, quel que soit
le besoin et le nombre de convives. Il est volé par le Roi Arthur et ses
compagnons et, emmené au Pays de Galle avec le Trésor d'Irlande. Dans les
versions tardives de l'épopée Arthurienne, le chaudron de Diwrnach est retrouvé
dans le Saint Graal. Un des cinq talismans du Tuatha Dé Danann.
Chaussures de Vidar
Magiques et totalement
indestructibles (Edda de Snorri).
Cheval de Troie
Cheval de bois construit par
Épéios pendant la guerre de Troie. À l'initiative d'Ulysse, des guerriers grecs
pénètrent dans Troie, assiégée en vain depuis dix ans, en se cachant dans un
grand cheval de bois, harnaché d'or, offert aux Troyens. Cette ruse entraîne la
chute de la ville et permet le dénouement de la guerre.
Claíomh
Solais « épée
de lumière » ou « brillante épée »
Apparaît à plusieurs reprises
dans le folklore gaélique d’Irlande et d’Écosse. Elle a parfois été assimilée à
Excalibur ou
plus récemment à l'épée de Nuada.
Collier des Brísingar
Collier de la déesse Freyja.
Collier d'Harmonie
Fabriqué par Héphaïstos à
l'intention d'Harmonie lors de son mariage avec Cadmos.
Collier de Shiva
Collier contenant un poison
capable de détruire le monde.
Corne d'abondance
Objet mythologique en forme de
coquille de Triton, utilisé par Ploutos, le dieu grec de la Richesse et de
l'Abondance.
Coscrach
Epée de Cúscraid, fils de
Conchobar Mac Nessa dans le cycle d'Ulster de la mythologie irlandaise.
Cosgarach Mhor « la
grande triomphante »
Epée du Fianna Oscar, fils d'Oisín
et de Niamh , et frère de Plor na mBan.
Couronne d'immortalité
Traditionnellement représentée
dans l'art par une couronne de laurier puis par un cercle symbolique d'étoiles
(souvent une couronne, un diadème, un halo ou une auréole).
Cruadh-Chosgarach « celle
qui détruit durement »
Epée de Caílte
mac Rónáin, un des Fianna.
Cruaidín Catutchenn
Epée de Cú Chulainn,
demi-dieu mythologique irlandais.
Dáinsleif « legs de Dáin »
Epée maléfique du roi Högni
selon le récit que fait Snorri Sturluson de la bataille connue sous le nom de
Hjadningavíg (Skáldskaparmál). Elle ne manque jamais sa cible et les blessures
qu'elle cause ne guérissent pas. Elle doit causer la mort d'un homme chaque
fois qu'elle est dégainée. C’est ainsi que, quand Hedin lui offre compensation
pour avoir enlevé sa fille, Högni lui répond qu'il est trop tard, puisque
Dáinsleif a été tirée.
Dragvendil
Epée d’Egill Skallagrimson et de
son père Skalla avant lui dans la saga
d'Egill, fils de Grímr le Chauve. L’épée est dans la famille depuis
plusieurs générations, son premier possesseur aurait été Ketill au Nez plat, un grand colon viking.
Draupnir
Anneau du dieu Odin. Il se
multiplie par 9 toutes les 9 nuits. C'est d'ailleurs un symbole de richesse
inépuisable. Il a été forgé par les nains.
Dyrnwyn «
poignée blanche »
Epée du roi écossais Rhydderch Hael et l'un des treize trésors de l'île de
Bretagne dans la mythologie celtique. Sa lame s’enflammait quand elle était
maniée par un homme de valeur.
Egide ou Aegis
Bouclier semeur de panique
fabriqué par Héphaïstos. Il appartient à Athéna ou à Zeus. Il se pourrait qu'il
y ait 2 égides : celle de Zeus, recouverte de la peau de la chèvre Amalthée qui,
en plus de répandre la panique, peut envoyer la foudre et le tonnerre quand
Zeus la secoue ; celle d'Athéna recouverte de la peau du géant Pallas qui, en
plus de répandre la panique, peut pétrifier ceux qui la regardent, car la tête
de Méduse orne celle-ci.
Ekkisax, Ekkesahs, Ekkesasz
ou Eckenlied
Dans les reprises germaniques, elle
avait le pouvoir de combattre seule.
Epée chantante
Appartenant à Conaire Mór, fils d'Eterscél et un haut roi d'Irlande, et
qui chantait dans les batailles.
Epée de Damoclès
Epée de Denys l'Ancien, tyran de
Syracuse de la Grèce Antique qui fut maintenue simplement par un crin de cheval
au-dessus de la tête de Damoclès pour lui montrer de façon concrète la
dangerosité d'une situation.
Epée de Nuada
Appartenait à Nuada Airgetlam, le dieu-roi guerrier manchot de la
mythologie irlandaise et le premier roi des Tuatha Dé Danann. Elle fut apportée
par les Tuatha Dé Danann de la ville mythique de Finias (supposée
être dans une île au nord de la Grande-Bretagne) quand ils conquirent
l’Irlande. Elle constitue à ce titre l'un de leurs quatre trésors. Une fois
tirée du fourreau, nul ne lui a jamais échappé.
Epée de vie de Freyr
Elle avait le pouvoir de
combattre seule. Freyr la cède à Skírnir contre
la main de la géante Gerd, et ainsi désarmé meurt à Ragnarök.
Feijian
Epée
de la mythologie chinoise, empruntée par Lü Dongbin à Zhenwudadi pour vaincre les esprits de la
tortue et du serpent.
Fil d'Ariane
Fil dans la mythologie grecque
qu’Ariane donne à Thésée lorsqu'il est enfermé dans le Labyrinthe du Minotaure
et qui lui permettra de s'en échapper.
Fiskhkryggr « arête de poisson »
Epée de Magnus V
de Norvège dans la Saga de
Magnus Erlingsson.
Fodbred ou Fetbreid
Epée de Thoralf Skolmson le Fort
dans la Saga d'Olaf Tryggvason de Snorri Sturluson.
Fontaine de jouvence
Symbole d’immortalité ou de
perpétuel rajeunissement.
Foudre de Zeus
Arme fabriquée pour lui par les
Cyclopes, ses oncles, et possédant trois éclairs : le premier pour avertir, le
deuxième pour punir et le troisième, pour la fin des temps.
Fragarach
Epée
que porte Lug
dans la mythologie irlandaise. Elle avait été forgée par les dieux et lui fut
donnée selon les versions soit par son prédécesseur Nuada qui combattait avec
lorsqu’il perdit son bras dans la bataille, soit
par Manannan Mac Lir, le dieu
marin gardien de l'île de Man dans la mythologie celtique irlandaise. Seul
était digne de la porter celui qui, la plaçant sur la pierre du destin,
l’entendait murmurer en réponse au rugissement du roc, d’où ses surnoms de Whisperer et Answerer. Nul ne pouvait proférer
un mensonge avec sa lame posée sur sa gorge. On disait que qui la portait
commandait aux vents, qu’aucune armure, qu’aucun mur ne lui résistait et que
personne ne se relevait des blessures qu’elle infligeait. Elle
constitue l'un des trésors des Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana avec
Caladbolg.
Freise
Epée d'Hildebrand dans le Deutsche
Heldensage de Wilhelm Grimm.
Futsu-no-Mitama
Epée
de Takemikazuchi, le dieu du tonnerre, qu’on
conserverait dans un temple de Nara.
Gae bolga «
javelot-foudre»
Lance magique de Cúchulainn dans
la mythologie celtique irlandaise.
Gáe Buide « Lance
Jaune » et Gáe Derg « Javelot
Rouge »
Lances de Diarmuid Ua Duibhne,
pouvant infliger des blessures dont nul ne pouvait guérir.
Gambanteinn «
baguette magique »
Apparaît dans deux poèmes de l’Edda poétique : Hárbardsljód entre les mains d’Hárbardr
(stance 20) et Skírnismál, dans celle de Skirnir (stances 25, 26 et 32).
Gandiva
Arc d'Arjuna dans la Bhagavad-Gītā,
partie centrale du poème épique sanskrit du Mahabharata, dans la mythologie
hindoue.
Girish
Epée
portée par Shiva.
Gjallarhorn
Lur (ancien instrument de
musique scandinave) par lequel le
dieu Heimdall envoie un message aux dieux d’Ásgard et aux mortels de Midgard.
Gleste
Epée d'Eckehard zu Breisach
forgée par Aniseax selon le Deutsche Heldensage de Wilhelm Grimm.
Gloire de dix pouvoirs
Epée
chinoise légendaire, supposée avoir été forgée au Tibet par un couple de
magiciens, selon l’ancienne tradition Bön.
Gram « courroucé, hostile »
Epée de Siegfried,
grâce à laquelle il tue le dragon Fáfnir. On
l'appelle aussi Balmung. Voir l'Edda
poétique et Sivard et Brynild.
Dans la Saga Volsung, il s’agit de l’épée de Sigmund, Sigurd et Hildebrand
dans. Cette épée forgée par Régin a appartenu en premier à Sigmund et n'avait
pas de nom. Odin l'a brisé dans la dernière bataille de Sigmund. Reforgé pour
son fils Sigurd. Selon la saga de Thiðrek, Hildebrand aurait reçu Gram après la
chute de Niflungs. Elle est si coupante qu'elle coupa en deux une enclume.
Greysteel
Épée portée par un héros
nordique nommé Koll the Thrall. Autrefois l'esclave il fut fait Comte par le
roi Alrek pour le récompenser de lui avoir présenté celle qui allait devenir sa
femme.
Gullinbursti
Sanglier forgé par Eitri et
Brokk, nains dans la mythologie nordique.
Gullver
Epée de Hjalti, compagnon de
Hrolf Kraki dans la Saga de Hrólf Kraki.
Gungnir « frémissante »
Lance magique du dieu Odin,
forgée par le nain Dvalin, un des fils d'Ivaldi. Cette lance ne manque jamais
sa cible et reviens magiquement dans les mains de son porteur. Sur sa hampe,
taillée dans Yggdrasil l'arbre sacré, sont gravées des runes qui maintiennent
la loi. Cette lance est représentée par le symbole runique, Gar.
Hache de Péroun
Attribut du Dieu de la foudre
dans la mythologie slave.
Han ou Gan Jiang et Mo
Ye
Epées
jumelles chinoises appelées du nom de leurs forgerons : Han Jiang (masculine) et Mo Ye (féminine). Elles furent forgées
en 3 ans et coûtèrent la tête de Han Jiang, car les deux forgerons n’avaient
pas respecté le délai de 3 mois imposé par le roi Helü de Wu pour la
fabrication des deux épées.
Havfud, Havfut ou Hoefud « tête d’homme »
Epée de Heimdall dans la
mythologie nordique (Edda poétique).
Hekesas
Epée éblouissante fabriquée sous
terre par le nain Alfrik, maniée par le géant Ekka puis par Thidrek qui la lui
prit, dans la saga de Thidrek.
Hjörleifr
Epée volée dans un tertre
funéraire et dont la lame était brillante, probable emprunt aux traditions
irlandaises (cf. Claíomh Solais) .
Hneitir
Epée d'Olaf II de Norvège dans
l'Edda de Snorri.
Hofud « tête »
Epée d’Hemdall « lumière du
Monde », dieu de la lumière, du temps et de l'année, veilleur des Ases.
Honjo Masamune
Un des katana personnels des shoguns Tokugawa, dont on a perdu la trace à la fin de la
Seconde Guerre mondiale. D’autres katana existent comme Musashi Masamune qui aurait été porté par Miyamoto Musashi, Fudō Masamune un tantō avec un horimono
représentant la divinité bouddhiste Fudō Myō'ō, Kyōgoku Masamune, Hōchō Masamune, Kote-giri Masamune ou
encore Daikoku Masamune parmi les
katana historiques forgés par Masamune au XIVe siècle.
Houken
Epée
métaphorique destinée à couper les désirs terrestres, portée par Acala l'immuable ou «
Acalanātha » le maître immuable, déité bouddhique du mikkyō et l'un des cinq
rois du savoir, associé au feu et à la colère.
Hrotti
Une des épées du trésor de
Fáfnir que Siegfried ou Sigurd prend comme butin, après l'avoir tué.
Huàyìng
Une
branche qui se transforma en épée dans la main de l’empereur de Chine Zhuanxu, et qui avait le pouvoir de
commander aux éléments et aux animaux.
Hvittingi
Une des épées de Halfdan le Noir
dans la Geste des Danois de Saxo Grammaticus.
Inoshishi-giri «
tueuse de sanglier »
Forgée par Fujiwara Masazane (un
disciple de Muramasa), avec
laquelle Sakai Tadatsugu aurait tué un sanglier sauvage au cours
d’une chasse avec Tokugawa Ieyasu.
Járngreipr
Gants de fer du dieu Thor.
Jokulsnautr
Cf. Ættartangi.
Juuchi-yosamu « 10 000 nuits froides
»
Epée forgée par Muramasa Sengo. Placée dans le lit d’un ruisseau, sa lame
coupait en deux tout ce que le courant lui présentait : poisson, feuille morte,
etc. D’autres sabres de Muramasa sont restés dans la légende, comme Myōhō
Muramasa ou Kabutowari Izumi-no-kami Kanesada,
un wakizashi
porté par le héros Saigo Takamori.
Kogitsune-maru « petit renard »
Epée que la divinité-renard Inari aurait aidé le forgeron Munechika à
fabriquer à la fin du Xe siècle.
Kundala
Paire de boucles d'oreille
données par Sūrya à Karna et que ce dernier porte sur lui dès sa naissance.
Kunée d'Hadès (casque)
Créée par les Cyclopes, qui rend
son porteur invisible. Hermès l'a empruntée pour tuer Hippolyte.
Kunwu
Epée
que donne Jiutian Xuannü à Huangdi pendant sa guerre contre Chiyou.
Elle pouvait tuer même des dieux ou des démons et repoussait la magie noire.
Kusanagi-no-tsurugi
Epée légendaire du Trésor impérial du Japon confiée par Amaterasu à son petit-fils le prince Ninigi-no-Mikoto. Elle serait conservée dans un monastère
de Nagoya.
Kvernbitr «
coupe-meule »
Epée de Håkon Ier
de Norvège. Cimeterre donné par le roi anglais Æthelstan à
Håkon. Sa poignée était en or selon l'Edda
de Snorri.
Lævateinn
Epée citée dans le poème Fjölsvinnsmál
de l’Edda poétique.
Lagulf
Epée de Hildebrand dans la saga
de Thidrek. L'épée servit à blesser Gernoz (Gernot) et tuer Giselher.
Lance d'Athéna
Lors du concours entre Athéna et
Poséidon pour savoir à qui appartiendra la future ville d'Athènes, Athéna lança
sa lance et un olivier sortit de terre, là où la lance avait touché le sol.
Lance de frêne d'Achille
Lance que seul Achille pouvait
soulever et lancer. C'est un présent du centaure Chiron.
Lance de Lugh
Objet légendaire druidique du
dieu Lugh qui pouvait tuer n'importe qui d'un seul coup et transpercer jusqu'à
9 ennemis si elle était lancée.
Leggbitr « coupe-jambe
»
Epée de Magnus
aux pieds nus, roi de Norvège. Sa garde était faite d'une dent de
baleine, dans l'Edda de Snorri.
Leochain
Une des épées magiques de Fergus Mac Roeg ou MacRoich dans la mythologie
celtique irlandaise.
Loevi
L'épée de Bjalki, compagnon de
Hrolf Kraki dans la saga d'Hrolf Kraki.
Logthi
Epée d’Ole Halfdansson dans la Geste des Danois de Saxo Grammaticus.
Lotos
Fleurs ayant envoûté l'équipage
d'Ulysse.
Lovi ou Laufr
Une des épées de Bödvar Bjarki dans l'Histoire
de la Norvège de Torfaeus ou chez Saxo Grammaticus. C’est
son épée de famille, on la retrouve, dans un autre texte, enterrée avec le roi
Hrolfr.
Lysingi ou Liusingi
Une des épées de Halfdan le Noir, avec laquelle il tue son demi-frère, dans
la Geste des Danois de Saxo Grammaticus. Elle avait appartenu à son grand-père
Ingel (peut-être Yngvi).
Mac an Luin ou McAluin « fils
des ondes »
Epée du guerrier légendaire
Fionn Mac Cumhaill.
Main de Midas
Main du Roi Midas transformant
tout ce qu'elle touche en or dans la mythologie grecque.
Marteau d’Héphaïstos
Marteau avec lequel il forgeait
toutes les armes des Dieux.
Marteau de Sucellos
Marteau qui permet à celui-ci de
tuer et ressusciter une personne.
Megingjord « qui augmente la force »
Ceinture portée par le dieu Thor
qui lui donne la force de soulever son marteau Mjöllnir.
Mimung , Miming, Memering
ou Mimring
Epée forgée par Véland ou
Wayland (forgeron d’Odin) pour son usage propre, puis transmise à son fils
Witege, Wittich ou Vidrik selon la saga de Thidrek. Elle fut donnée à Siegfried par une fée.
Mistiltein
Epée de Hrómund Gripsson dans la
Hrómundar saga Gripssonar, une saga légendaire tardive, et du héros danois Seming. Elle
appartint d’abord à Thráin, qui après avoir régné au Valland et tué de son épée
près de 420 hommes — dont le roi suédois Seming — se retira dans un tumulus
avec ses richesses, y devenant un draugr. Hrómund l’y
combattit et s'empara de l’épée.
Mmaagha Kamalu
Dans la mythologie des Igbos, épée du dieu de
la guerre Kamalu. Elle rougeoie à proximité d’ennemis.
Mjöllnir
Marteau magique de Thor. Arme
fabuleuse fabriquée par les nains Brokk et Eitri à la demande d’Odin. Ce
marteau est capable de revenir à la main de son lanceur et de commander la
foudre.
Moralltach, Morallta
ou Nóralltach « grande furie »
Epée donnée à Diarmuid Ua
Duibhne par son père adoptif le dieu solaire Oengus (en même temps que
Beagalltach). Lui même la tenait du dieu marin Manannan Mac Lir. Tous ses coups
étaient mortels. Il utilise celle-ci dans ses aventures les plus risquées.
Nadur
Cimeterre d‘Egill, associé à ses
combats mortels, dans la saga d'Egill, fils
de Grímr le Chauve.
Nagelringr
Epée de Thidrek dans la saga de Thidrek, fabriquée par
le nain Alfrik. Elle
réapparait dans Beowulf sous le nom de Nægling.
Naglering
Épée de Dietrich Von Bern (Diderik).
Ditrich a reçu l'épée du nain Alberich qui l'avait forgé pour les géants de feu
Grim et Hilde.
Naglfar
Bateau qui, dans la mythologie
nordique, se détachera lors du Ragnarök, conduisant les géants au combat.
Naglhring
Épée de Grim puis de Heimir.
Dans la saga de Thidrek, le nain Alfrek, qui l’avait forgée, vola l'épée à
Grim, époux de Hild, et en fit don à Thidrek. Thidrek en fit don par la suite à
son ami Heimir quand il prit possession d'Ekkisax.
Nalfundïr
Epée qui fût forgée par Aeron
pour son seigneur Insil. Elle disparut à la mort de ce dernier.
Nandaka
Epée du dieu Vishnu.
Nectar
Boisson des Olympiens.
Neiter ou Neite
Cf Hneitir.
Nistrimsha
Epée
de Pradyumna, le fils de Krishna.
Nothung
Autre nom de Balmung, une des épées de Siegfried.
Omphalos
Qualifié de « nombril du monde
», pierre sacrée donnée par Rhéa à son époux Cronos afin que celui-ci ne dévore
pas leur fils Zeus.
Orna
Epée de Tethra, un des chefs
des Fomoires, est l'archétype des « épées chantantes » de la mythologie celtique irlandaise : chaque fois qu’on la tire
du fourreau, elle raconte ses exploits passés. Dans le Lebor Gabála Érenn (Le Livre des conquêtes de l'Irlande), elle est dérobée par Ogma ou Ogmios, un des Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana, après la seconde bataille de Mag Tuired (Cath Maighe Tuireadh).
Palladium ou Palladion
Statuette de Pallas-Athéna,
emmenée hors de Troie en flammes par Énée.
Parashu ou Paraśu
Hache de bataille. Arme
classique du dieu Shiva qui détruit le désir et l'attachement et donc supprime
l'agitation et le chagrin.
Pattayudha
Epée
de Virabhadra,
le commandant des armées de Shiva.
Peau du Lion de Némée
Aucune lame ne peut pénétrer cette
peau. C’est ainsi qu'Héraclès étouffe le lion lors de son premier travail (les
douze travaux) puis s’en revêtit.
Pétase
Attribut divin d'Hermès
constitué d'un chapeau ailé à bord large.
Pic de Lune
Lance qui fut remise aux
peuplades pictes par la divinité « Jack », habitant de la Lune. La pointe de la
lance a été taillée dans un morceau de pierre lunaire. C'est le Concile des
Humbles qui a le pouvoir de désigner le Gardien du Pic de Lune.
Pierre de Fal
Un des cinq talismans des Tuatha
Dé Danann, symbolisant le pouvoir légitime et la royauté.
Pomme de discorde
Faite en or, elle portait la
mention « Pour la plus belle ». Éris (la Discorde) la lança, lors des noces de
Thétis et Pelée, aux déesses Héra, Athéna et Aphrodite. Toutes trois revendiquèrent
alors le fruit.
Pommes d'Idunn ou Pommes de jouvence ou Pommes d’or
Elles appartiennent à la déesse
de l’éternelle jeunesse Idunn. Elles ont le pouvoir de rajeunir celui qui en mange,
et comme les dieux nordiques sont mortels, quand ils se sentent vieillir, ils en
mangent une et rajeunissent aussitôt.
Pommes d'or du jardin des Hespérides
Cadeau de noces de Gaïa à Héra.
Pour son onzième travail, Héraklès dut rapporter 3 pommes à Mycènes.
Refil
Épée de Regin dans une des
versions de la Chanson de Nibelungen.
Retaliator
Autre nom de Fragarach.
Ridill « gui » ou Refil (dans la Skaldskaparmal)
Epée de Regin dans l'Edda de Snorri. Une des épées du
trésor de Fáfnir que Siegfried ou Sigurd prend comme butin, après l'avoir tué.
Risanöt
Epée du géant Grimmer, fils de
Grimolf dans la Gothrici & Rolfi
Westrogothiae Regum Historia
d’Olaus Verelius Uppsala, 1664.
Rôse
Donnée par le roi des Nains Alberich à
Ortnit dans la Chanson des Nibelungen.
Ruyi Jingu Bang
Bâton magique de Sun Wukong dans
la mythologie chinoise ; il peut changer de taille.
Sampo
Objet magique qui, dans la
mythologie finnoise, assure la fortune à son propriétaire.
Sandales ailées
Attribut divin d'Hermès
constitué d'une paire de sandales ailées lui permettant de voler de l'Olympe
jusqu'à la Terre pour porter les messages divins.
Schritt
Epée de Biterolf forgée par
Mime-le-Vieux, maître de Veland dans Deutsche Heldensage de Wilhelm Grimm.
Screp
Epée du roi danois Varmund. Elle
coupait toujours par le milieu les objets qu'on lui opposait selon la Geste des Danois de Saxo Grammaticus.
Shamshir-e Zomorrodnegar « l’épée constellée d'émeraudes »
Mentionnée
dans l’histoire Amir Arsalan de
la mythologie perse, où elle seule peut vaincre le démon Fulad-zereh. Cette
lame aurait à l’origine appartenu au Roi Salomon.
Skidbladnir
Bateau appartenant à Freyr dans
la mythologie nordique.
Skofnung
Epée de Hrólf
Kraki, roi de Danemark, selon In Notis ad Saxonem Grammaticum de Stephanius et Thomas Bartholin le Jeune et dans la saga d'Hrolf Kraki.
Serait habitée par l'âme de ses douze gardes du corps, les berserks, et
aurait été volée dans son tertre funéraire par des Islandais quelques siècles
plus tard. Le soleil ne doit jamais luire sur sa poignée, et elle ne doit pas
être tirée en présence d’une femme selon la saga de Laxdæla.
Svalinn
Dans la mythologie nordique,
bouclier placé entre Sól, personnification du Soleil, et la Terre, pour
protéger cette dernière des rayons de celui-ci.
Svirtir
Une des épées de Bödvar Bjarki chez Saxo Grammaticus. C’est
son épée personnelle, dont il dit qu’elle « lui a donné son nom de guerrier ».
Téngkōng
Epée
qui descendit du ciel entre les mains de l’empereur Zhuanxu. Elle pouvait entrer en lévitation
et pointait alors dans la direction de la guerre.
Thyrse
Bâton surmonté d'une pomme de
pin et décoré de feuilles de lierre, attribut du dieu Dionysos, puis Bacchus.
Dionysos s'en est servi pour tué le géant Eurytos. Les satyres et les ménades
ont également un thyrse.
Toison d'or
Toison de Chrysomallos, bélier
ailé sur lequel Phrixos et Hellé s'enfuirent pour échapper à leur belle-mère,
Ino. Elle fut volée par Jason et les Argonautes avec l'aide de Médée.
Totsuka-no-tsurugi
Epée avec laquelle Susanoo tue le dragon Yamata-no-Orochi dans la
mythologie japonaise.
Trident de Poséidon
Fourche à trois dents avec laquelle
il frappea l'Acropole de la future ville d'Athènes et d'où il sortit une source
d'eau salée (ou un cheval, selon les traditions). Ce trident peut également provoquer
des tremblements de terre lorsqu’il touche le sol.
Trisula
Trident du dieu hindou Shiva,
symbole qui concentre, pour ses adorateurs, les pouvoirs de la trimūrti,
c'est-à-dire la création, la préservation et la destruction.
Tunique de Nessos
Synonyme de cadeau empoisonné.
Elle était imprégnée du sang de Nessos qui brûla Hercule jusqu'à ce qu'il
s'immole pour mettre fin à ses souffrances.
Tyrfing
Epée maudite possédée par Svafrlami,
puis Arngrim, Angantyr
et Hervor dans la Saga de Hervor et
du roi Heidrekr, l’Edda poétique
« le réveil d'Angantýr » et la saga de Hervarar. Elle fut forgée par
les Nains Dvalin et Durin sous la contrainte
du roi Svafrlami. Ceux-ci y ont placé une malédiction, celle d'apporter la mort
à son porteur. De plus, aucune blessure faite par l'arme ne peut être guérie.
Sigrlami meurt donc des mains d'Arngrim qui hérite de l'épée, etc…
Vajra
Arme du dieu Indra. Il s’agit de
l’origine de la foudre.
Valshamr
Manteau de plumes de la déesse
nordique Freyja. Il permet à celui qui le porte de se changer en oiseau et de
voler d'un monde à l'autre.
Vijaya
Arc de Karna, le frère aîné des
pandavas et plus tard du roi d'Anga au Mahabharata, dans la mythologie hindoue.
Voile d'Ino
Voile magique appartenant à la
déesse Ino et qui protège de la douleur et de la mort quand il est mis sur la
poitrine. Dans l'Odyssée, Ino prête son voile à Ulysse le temps que ce dernier
arrive sur l'île des Phéaciens.
Voile d'Isis
Vêtement porté par cette déesse
égyptienne pour cacher sa nudité au regard des hommes. D’autres voient dans ce
voile la révélation de mystères tant passés que présents ou à venir.
Waskë
Épée de Sintram, dans le mythe
des Nibelungen.
Wasken, Wasclien ou Welsung
Epée d'Iring, margrave de
Danemark dans la Chanson des Nibelungen.
Whisperer « celle
qui murmure »
Autre nom de Fragarach.
Yawarakai-te «
tendres mains »
Epée légendaire du forgeron Masamune. Lors
d’un concours avec son rival Muramasa, les
poissons et feuilles mortes charriés par un ruisseau dans le lit duquel sa lame
était plongée la contournaient alors que Juuchi-yosamu,
le sabre forgé par Muramasa, les tranchait, provoquant tout d’abord les
moqueries du public, puis le respect quand on comprit que Yawarakai-te ne blessait pas
pour de vaines raisons.
Sources : http://pages.infinit.net/celte/epees.html
http://hautsgrades.over-blog.com/article-les-epees-de-legendes-2-63955008.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9p%C3%A9es_l%C3%A9gendaires