Les Prophéties d’Alois Irlmaier
Lors de discussions avec Alois Irlmaier, l'auteur allemand, Conrad
Adlmaier répertoria de nombreuses déclarations prophétiques et les publia en
1950.
« Tous ne parlent que de paix, Schalom ! C’est
alors que ça arrive. Une nouvelle guerre au Proche Orient s’enflamme
subitement, de grandes flottes de guerre hostiles se font face en Méditerranée
la situation est tendue.
Mais l’étincelle détonante sera
jetée sur le baril de poudre dans les Balkans.
Je vois un « grand » tomber, un
poignard sanglant est trouvé près de lui.
Puis tout se passe coup sur coup.
De puissants corps d’armée marchent sur Belgrade venant de l’Est et poussent
vers l’Italie.
Immédiatement après, trois armées
blindées s’enfoncent comme des coins de manière foudroyante au nord du Danube
et traversent l’Allemagne en direction du Rhin sans avertissement.
Tout se passe de manière si
inattendue que la population fuit affolée vers l’Ouest.
Beaucoup d’autos engorgent les
routes si seulement elles étaient restées à la maison ou avaient pris de
petites routes !
Sur les autoroutes, les bouchons
qui freinent la poussée des tanks sont balayés brutalement.
Au dessus de Ratisbonne je ne
vois plus les ponts sur le Danube. Il ne reste presque plus rien du grand
Francfort. La vallée du Rhin est dévastée, surtout par les airs. En un instant
la vengeance vient par delà la grande eau.
Simultanément le dragon jaune
(Russie) s‘abat sur l‘Alaska et le Canada. Pourtant il ne va pas loin. »
« Deux hommes assassinent un
troisième haut placé. Ils ont été payés pour ça. Le premier meurtrier est un
petit homme noir, l’autre est un peu plus grand avec les cheveux clairs. Je
pense que ça se passe dans les Balkans, mais je ne peux pas le dire exactement.
Le troisième meurtre a eu lieu.
Puis c’est la guerre.
La guerre commence au lever du
soleil puis tout se passe très vite.
Je vois venir sur nous trois
armées à l’assaut comme des coins : La chenille d’en bas vient de Bohème par la
forêt."
Le père Norbert Backmund (un prêtre ami du voyant) complète cette
prophétie selon ce qu’Irlmaier lui a dit oralement :
« L’ennemi ne passe pas le Danube
mais il bifurque vers le Nord Ouest. La ville de Landau sur l‘Isar souffre
durement à cause d’une bombe qui l’a atteinte par erreur.
Le deuxième coin d’assaut
pousse directement vers l’Ouest à travers la Saxe, le troisième du Nord-Ouest
vers le Sud-ouest. Les Russes avancent jour et nuit. Leur objectif est la Ruhr,
où se trouve les hauts fourneaux.
Après je vois la terre comme une
boule sur laquelle des colombes blanches s’envolent devant moi en très grand
nombre sortant du sable. Puis il pleut une poussière jaune en une ligne.
La ville dorée (Prague) est
anéantie, ça commence là. Cela se prolonge comme une bande jaune qui remonte
jusqu’à la ville dans la baie.
Quand ils commenceront l’épandage
il fait nuit claire.
Les tanks continuent à avancer
mais ceux qui seront pris deviennent tout noirs. Dans cette zone plus de vie,
plus un arbre, plus un arbuste, plus une bête, plus une herbe vivante, tout est
fané et noir.
Les maisons restent debout.
Ce que c’est, je ne sais pas et
je ne peux pas le dire. C’est une longue bande jaune. Tout ce qui s’y trouve
meurt.
Personne ne peut franchir cette
bande sans mourir, ceux qui sont dedans ne peuvent pas en sortir et ceux qui
sont à l’extérieur ne peuvent pas y entrer.
Alors les colonnes blindées
russes sont brisées et doivent se replier vers le Nord en jetant tout leur
chargement. Aucun ne reviendra. »
D’après la version rapportée par Arthur Hübscher, Irlmaier aurait
encore dit :
« Cela va très vite. Du Danube à
la côte règne la
désolation. Deux colonnes de réfugiés parviennent encore à
passer le fleuve. La troisième disparaît, encerclée par l’ennemi.
Alors apparaissent les colombes
blanches et une pluie jaune tombe du ciel d’un coup.
C’est une longue bande qui va de
la ville dorée (Prague) jusqu’à une baie de la grande eau. Dans cette bande
tout est anéanti. Là où la bande s’arrête il y a une ville, elle est transformée
en un tas de pierres. Le nom de cette ville je ne peux pas le dire. »
« Des essaims de pigeons sortent
du sable. Deux hardes atteignent la zone des combats de l’Ouest vers le
Sud-ouest. Les escadrilles virent au Nord et coupent la route de la troisième
armée russe.
Le sol est couvert de chenilles.
Mais à l’intérieur de ces véhicules chenillés tout est mort, même si les
véhicules continuent d’avancer, avant de s’arrêter d’eux-mêmes petit à petit.
Même là les pilotes continuent à
larguer leurs petites caisses, qui explosent avant de toucher le sol et
répandent une fumée ou une poudre jaune ou verte.
Ce qui se trouve dessous est
mort, que ce soit homme, animal ou plante. Pendant une année entière aucun être
vivant ne peut plus poser le pied sur ce territoire sans se mettre en danger de
mort.
L’assaut russe est battu
définitivement sur le Rhin. Aucun soldat des trois armées assaillantes ne
rentre chez lui.
Ils larguent quelque chose sur
le quartier-général, je vois une église sur une montagne, l’autel regarde vers
le Nord. Je vois cette église brûler.
La Bavière du Sud-ouest sera
protégée, Notre Dame d’Altötting étend son manteau sur elle. De là personne ne
s’en va.
Les gens de la ville vont à la
campagne vers les paysans et prennent le bétail dans les écuries chez ceux qui
ne sont pas paysans et n’ont pas assez de bras pour s’occuper des bêtes. »
« Je vois trois villes
disparaître. L’une au Sud s’enfonce dans la boue, une autre au Nord sombre dans
l’eau et la troisième est détruite aussi mais reste hors de l’eau.
La ville avec la tour de fer
(Paris) est détruite, incendiée par ses propres habitants.
Dans le pays de la botte (Italie)
une révolution éclate. Je crois que c’est une guerre de religion, parce qu’ils
tuent beaucoup de religieux. Derrière le pape je vois un couteau sanglant. Parmi ceux qui ne peuvent fuir il
en restera très peu. Le Pape se passera d’eux et
s’enfuira déguisé par la mer.
Il reviendra peu après, une fois que l’ordre sera rétabli.
Le pays alpin (Suisse) sera un
peu impliqué, par le Nord et le Sud, mais à l’Est du pays tout est calme.
Les pays allant de la mer du Nord
jusqu’en Belgique sont gravement mis en danger par l’eau. La mer est démontée,
les vagues sont hautes comme des maisons, écumantes comme si cela cuisait.
Les îles près de la côte
disparaissent et le climat se modifie.
Une partie de l’Angleterre
disparaît engloutie quand la chose tombe dans la mer, lâchée par le pilote.
Alors la mer se dresse comme une pièce solide avant de retomber. Je ne sais pas ce que c’est.
Pendant la guerre, ou à la fin,
je vois un signe dans le ciel : le Crucifié avec ses plaies et tous le verront.
Je l’ai vu trois fois. Cela se produira très
certainement. »
« Brusquement les Russes doivent
se retirer vers le Nord, à cause d’une catastrophe naturelle ou quelque chose
de ce genre.
La dernière bataille prend feu
près de Cologne. »
Du début de l’année 1959, Irlmaier prédit :
« Un jour pendant la guerre tout
devient sombre. Alors éclate une grêle avec des éclairs et le tonnerre et un
tremblement de terre ébranle la terre.
Alors ne sortez pas de la maison
!
Les lumières s’éteignent sauf
celles des chandelles (cierges consacrés) le courant électrique est coupé. Qui
respire la poudre attrapera une crampe et meurt. Gardez les fenêtres fermées,
colmatez les avec du papier noir.
Toute l’eau courante est
empoisonnée et tous les aliments qui ne sont pas dans des boîtes hermétiquement
fermées. Même les aliments en bocaux ne peuvent pas être consommés, ces
emballages ne tiennent pas.
Ne buvez pas de lait.
Achetez quelques boîtes de
conserve de riz ou de légumineux. Le pain et la farine se conserve, l’humide
moisit, comme la viande sauf si elle est dans une boîte de conserve en zinc.
Dehors c’est la poussière
mortelle.
Il meurt beaucoup de gens. Les
fleuves seront tellement à sec qu’on peut facilement les traverser. Le bétail
périt, l’herbe jaunit et sèche.
Les cadavres humains sont tout
jaunes et noirs. Tout est passé après trois jours. Le vent chasse les nuages de
mort vers l’Est. Mais je répète : ne sortez pas. Ne regardez pas par la fenêtre.
Laissez brûler les cierges
consacrés et priez. Ces jours il mourra plus de gens que dans les deux guerres
mondiales. »
« En Russie éclate une révolution
et une guerre civile. Il y a tant de cadavres qu’on ne peut plus les évacuer
des rues.
La croix est à nouveau honorée.
Le peuple russe croit à nouveau en Dieu.
Les gros du parti se suicident et
leurs longues fautes sont lavées dans le sang. Je vois une masse rouge mêlée à
des visages jaunes, c’est un soulèvement général et un meurtre atroce.
Puis ils chantent le chant de
Pâques et brûlent des cierges devant des icônes de la Vierge Marie. »
«
Les ténèbres de trois jours se rapprochent. Je vois trois chiffres neuf.
Je ne peux pas dire ce que ça signifie. Le troisième neuf apporte la paix. Ensuite la
croix sera à nouveau honorée.
Quant tout est passé, plus de
gens sont morts que dans les deux guerres mondiales réunies. Alors ce sera la
paix et un bon temps. Les hommes craindront Dieu à nouveau.
Les lois qui mettent à mort les
enfants seront invalidées après ce grand coup de balai. Je vois un vieillard
maigre qui devient notre roi. Les prairies refleurissent quand le pape
reviendra de l’exil.
Quand viendra l’automne les gens
se rassemblent en paix. Tout d’abord il y a encore la famine, puis tant de
vivres que chacun mange à sa faim.
Les gens sans terre peuvent aller
où il y avait le désert et chacun peut s’établir où il le veut et avoir autant
de terre qu’il pourra labourer.
Les gens sont peu nombreux et
l’épicier se tient devant la porte et dit : « Achetez moi quelque chose sinon
je suis foutu ».
On plante de la vigne chez nous
tellement le climat a changé et des fruits méridionaux poussent chez nous et il
fait beaucoup plus chaud que maintenant.
Après la grande catastrophe vient
un long et heureux temps. Celui qui vivra alors, vivra bien et ne pourra que
s’en trouver heureux. »
« Après la victoire un Empereur
est couronné par le Pape. »
« Combien de temps cela dure ? Je
vois trois lignes. Je ne sais pas si ce sont trois jours trois semaines ou
trois mois.
Après ces évènements vient une
longue et heureuse époque : Celui qui la vivra s’en portera bien. Mais les gens
devront tout reprendre là où nos arrières grands parents ont du commencer. »